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(+16) 2 aout 1976 ~ Feat Sirius Bla Empty (+16) 2 aout 1976 ~ Feat Sirius Bla

Jeu 22 Nov - 0:18

 
2 aout 1976
ft. Sirius Black


Le soleil scintillait sur sa peau bronzée, réchauffant délicieusement celle-ci alors que mes doigts fins glissaient tout en douceur le long de son bras. Ses cheveux noirs baignaient sous la lumière tranchant avec l'or des blés et le rouge sang des coquelicots dans lesquels nous étions cachés. Ses yeux étaient fermés tandis que des râles s'échappaient de ses lèvres sous l'effet des allés et retour de ma main. Douce torture, au son délicieux, qu'était le jeu auquel je m'adonnais avec ses envies et ses plaisirs. Taquine, étaient mes lèvres contre les siennes à les frôler, les baisers et s'éloigner. Comme toujours, j'étais maître du jeu. Comme toujours je ne savais me laisser aller. Comme toujours, je prenais plaisir au sien.
Comme toujours, il devra s'imposer pour rendre la pareille si le défis le tentait.
A contrario des habitudes, nous étions à la vue de tous. Agonisant d'un plaisir non dissimulé, dans un jeu sans artefacts et simple: un plaisir, une envie, une drogue dont ni l'un ni l'autre ne savait se passer. Quand bien même l'été nous avait séparé de longues semaines jusqu'à ce qu'enfin, l'un de nous franchisse le pas et contacte l'autre. Dangereux était ce jeu aux règles simples mais devenue invisible: car s'il ne me donnait pas l'impression d'y brûler ses ailes, moi, je commençais à avoir cette oppressante impression que j'allais y perdre.
Moi, la seule fille de Poudlard à ne pas courir après Sirius Black. Moi, celle que tout le monde trouvait détestable, froide et hautaine. Moi, qui gardait mes distances avec les autres ayant été jusqu'à forger une carapace autour de ma personne.
Moi, qui était à l'instant même dénuée sur une couverture de pic nique à la moldue et qui jouait avec les pulsions masculines de celui qui m'avait proposé une balade en moto. J'avais sauté sur l'occasion, me languissant de sa présence: je m'étais pincée à mon propre jeu.
Mais y avait-il tellement de perdant ?

Attrapant ses poignets, je le fis rouler sur le dos, a califourchon au dessus de lui, je les tenais au dessus de sa tête. Mes longs cheveux or bouclés, frôlaient sa peau musclée, plus bronzée que la mienne. Un sourire en coin apparut, mes lèvres rosées, attrapèrent de nouveau les siennes, mordillant celle-ci l’espace d’une seconde. Obsédante envie charnelle qu’il était devenu ! Languissant chaque baiser, soupirant de lassitude en son absence, je me rendais compte en cet instant, alors que mes yeux bleutés n’étaient plus. Que j’aurai sincèrement aimé qu’il reste ainsi jusqu’à la fin de l’été. Prisonnier de mes cuisses, prisonnier de mes lèvres, mes mains tenant ses poignets. Le faisant mien encore et encore. Jouissant de ses soupirs rauques, presque animal.



~ Je souleva mes cheveux, pour les passer au dessus de ce débardeur réalisé au crochet, il était blanc et laissait deviner ma peau à travers. Je ne portais pas de soutiens gorge. Pourquoi faire ? Ma poitrine tenait très bien toute seule. Me relevant, j’enfilai le short court, un peu large que je portais lorsque Sirius était arrivé. Le griffon se rhabillait, un sourire à la commissure des lèvres. Je m’attendais à ce qu’il me taquine sur le programme de la journée. Ce fameux programme durant lequel nous étions censés nous « promener en moto » dans la campagne Anglaise. A peine arrivé, je n’avais pu m’empêcher de me jeter sur ses lèvres. Le mois avait été long, je m’étais languie de lui sans me l’avouer vraiment. Combien de fois avais-je guetté un hibou de sa part en vain ? Soupirant chaque matin lorsque le courrier était livré. Je m’étais refusée à être la première qui allait plier. Non, je ne voulais pas. Mais je désespérais à chaque fois que je ne voyais pas son écriture sur mon courrier.
Mes parents avaient longtemps pensés que j’attendais une réponse de Sainte-Mangouste pour les dates de concours d’entrées. Mais je les avais depuis longtemps, je ne leur avais juste rien dit. Alors, ne pouvant plus de me voir si « agitée », ils se décidèrent enfin à m’envoyer chez mes grands-parents maternels. Ce fut presque un soulagement, je détestais passer mes vacances d’été à Londres, enfermée dans le manoir familial.
La chose fut rapidement organisée, et si mes distractions étaient plus nombreuses, je ne pouvais m’empêcher de penser, encore et toujours, au Maraudeur qui me hantait. Me disant que Sirius aurait adoré passer du temps ici, dans ce manoir bien trop grand, peuplé de quelques elfes de maisons et de mes deux grands parents. Ces grands-parents qui avaient un terrible secret : aimer les anciennes voitures moldus et le cinéma. Une première passion que je n’avais jamais comprise, mais une seconde dans laquelle j’étais rapidement tombée.
15 jours plus tard, je n’y tenais plus. Envoyant Harold mon petit faucon porter un message à Sirius.

S.
Tu veux passer une après-midi avec moi ?


Je n’avais pas besoin de signer, Black saurait reconnaître mon écriture après tout !
En un rien de temps, il me répondit, proposant une journée, et moi, une activité. Une promenade dans la campagne, je lui avais donné un lieu précis ou me retrouver. Il ne savait pas ce que je lui avais préparé. Lorsqu’il avait transplanter au lieu de rendez-vous,  j’étais allongée sur une couverture de pique-nique. Dans mon dos, se trouvait une moto. Certes, c’était un vieux modèle, de collection, mais c’était ce que mon grand-père m’avait conseillé et « offert » dans ce qu’il avait au garage. Je ne m’y connaissais pas, et j’avais du apprendre à au moins, la conduire jusqu’en raz campagne.
Un sourire mutin aux lèvres, je jouais avec les clés, l’observant de mes yeux dorés. « Considérons ceci, comme … Un cadeau d’anniversaire à l’avance ! »


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(+16) 2 aout 1976 ~ Feat Sirius Bla Empty Re: (+16) 2 aout 1976 ~ Feat Sirius Bla

Lun 26 Nov - 5:45
Les petits moments sont les plus excitants, les plus précieux. Si cette année, il avait bien pris le temps de peser le pour et le contre, Sirius avait pris ses affaires et s’était rendu chez les Potter dès le début de l’été. Il n’avait pas attendu que ses parents le renient et le déshéritent de leur famille à la con pour prendre ses responsabilités, il ne voulait pas être comme eux… Et partir était l’unique solution qu’il avait trouvée. Après tout, quelques membres de cette si vieille et honorable famille avaient été déchus avant lui. Il n’était ni le premier, ni le dernier et tant mieux pour lui. Sirius se retourne une nouvelle fois dans son lit en regardant James qui dort à poings fermés. Le temps de mettre en ordre une pièce pour l’accueillir convenablement, les Potter avaient pris le parti de le faire dormir avec leur fils. Chose qui se passait déjà à Poudlard, alors supporter les ronflements incessants de James, c’était un maigre sacrifice face à sa liberté retrouvée. Fini les garden-parties, fini les repas de quinze heures. Ici, il était véritablement considéré comme un fils à part entière, sans être un héritier avant toute chose. Il sourit finalement en tentant de fermer les yeux, mais il était réveillé ça ne faisait aucun doute, même l’aube commençait à pointer le bout de sonner à travers les rideaux. En été, c’était une chose normale que ce soit si tôt. Quelle heure il était 5 heures du matin peut-être ? Le poursuiveur des Gryffondor se redresse dans son lit, et colle son front contre la fenêtre. Son lit de fortune lui plaisait bien, mais il pensait à elle encore. Trop et voire toujours ces derniers temps. Poudlard lui manquait presque pour ne pas avoir l’occasion de la voir plus souvent, si ce n’est presque tous les soirs. Il soupire une nouvelle fois, attendant d’entendre les premiers pas aux rez-de-chaussée pour descendre à son tour. Tant que James dort encore, lui, ne pouvait pas tenir en place, il avait besoin d’aller courir, un moins quelque temps…

Quand lorsqu’il s’arrête à quelques mètres de la demeure des Potter, il regarde Harold se poser sur la clôture à ses côtés. Il a un mince sourire Sirius, se souvenant de cette séance de pique-nique il y a une quinzaine de jours… Passer une après-midi avec elle ? Évidemment, après tout James devait visiter une quelconque grand-tante avec ses parents, il n’était pas de la partie. Il transplane donc dans l’après-midi, transplaner à un endroit qu’il connaissait. Les grands-parents de la Mulciber étaient plus proches des moldus que le reste de sa famille. C’est ce que Sirius en avait compris.

Pourtant, il marche un peu plus, main dans les poches, alors que l’encolure en V laissait sa peau un peu plus hâlée que la normale se dévoiler. Elle était là tout bêtement posée sur une couverture de pique-nique. Il a un petit sourire en coin Sirius en la voyant de la sorte et s’accroupit face à elle. Alors qu’elle bave une chose qu’il ne comprend pas. Oh ça, la moto, il l’avait vu. Une sublime Harley-Davidson de 1975, une sportster, d’un rouge vif qui était absolument sublime. Parfois même, il jetait des regards entre elle et la moto, jusqu’à sa phrase. « Considérons ceci, comme… Un cadeau d’anniversaire à l’avance ! » Il cligne des yeux, un instant, n’y croyant pas vraiment malgré les clés qui tournaient dans sa main. Un passe une main sur son visage dans un rire presque animal, il n’y croyait pas, elle lui avait acheté une moto ? Pour de vrai ? Il vient se relever pour se laisser tomber à ses côtés, plaquant son dos contre la couverture, venant chercher ses lèvres. Plus facile de dire merci de la sorte que de l’exprimer. Mais ça se voyait grâce à la leur de ses yeux. Et ceux de la blonde avaient ce même éclat doré qu’ils avaient toujours quand elle le regardait. C’était plaisant, flatteur, amusant par moment même. Il caresse sa joue, se détachant d’elle un temps. « T’étais pas obligée… Qu’est-ce qui t’as pris bon sang… » Mais le fond de sa voix est totalement comme celle d’un enfant qui ouvrait ses cadeaux de Noël. Il avait envie de montrer dessus et il jette parfois des regards derrière eux. Alors qu’il coince le menton de la blonde entre son index et son pouce. « Pia. Tu vas vite me dire quel est ton prix pour une bécane pareille ? » Il était prêt à tout payer de toute façon.
Sirius parle en Teal
Sulpicia parle en MediumVioletRed
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(+16) 2 aout 1976 ~ Feat Sirius Bla Empty Re: (+16) 2 aout 1976 ~ Feat Sirius Bla

Mar 27 Nov - 23:58

 
2 aout 1976
ft. Sirius Black


Cela m’avait prit plusieurs semaines de convaincre mon grand-père maternel de bien vouloir me venir en aide dans ma recherche. Je n’y connaissais rien, mais je savais que lui si. Il m’avait donc fallut lui parler de lui. De la raison pour laquelle je désirais tant acheter une moto… Après tout, fan des moldus comme ils étaient avec ma grand mère, fan du cinéma et des vielles voitures, ils pourraient surement m’aider ?
Si ma grand-mère avait gardé pour elle son avis sur la question, mon grand-père lui fut plus que curieux vis à vis de Sirius. Me demandant s’il pourrait rencontrer ce jeune sorcier. Un Black, amoureux des motocycles ce n’était pas courant ! J’avais laissé une moue se dessiner sur mes traits fins. Voulais-je réellement partager ? Je savais que je ne pourrai lui dire non… C’était les seuls un tant soit peu humain dans ma famille. Même mère ne leur rendait jamais visite, ayant trop honte de leur petit secret vis à vis des moldus. Ils vivaient dans la campagne Anglaise, dans le sud. Possédait un manoir ancestral bien trop grand pour eux, avec un jardin d’hiver. Ne parlons même pas du terrain qui aurait pu y loger la ville la plus proche ! Le tout, accompagné d’une foret et de plusieurs terres qu’ils louaient. C’est là, que mon grand-père avait crée un garage pour sa collection de vielles voitures. Je l’avais tannée jusqu’à ce qu’il accepte de me donner sa seule et unique moto, a défaut de trouver le modèle idéal selon les souvenirs que j’avais de mes conversations avec Sirius.
Malgré mes recherches, seule celle que de mon grand-père correspondait… Et après tout, il n’était plus en état de l’utiliser… Malgré le pincement au cœur que je ressentais lorsque j’y pensais, la peur au ventre de perdre les rares personnes avec qui je pouvais être moi. Le jour ou il avait accepté de me la laissée, j’avais passer les bras autour de son cou, embrassant sa joue avec bonheur. Je ne savais comment le remercier… Il se proposa donc de ramener Sirius à la maison pour le diner, lorsque je le verrai. Entre temps, je devais apprendre à me servir du monstre pour l’amener à notre lieu de rendez-vous…


Un petit sourire aux lèvres, ses yeux faisaient des allés retour entre la moto et moi. Moi, tout sourire et joueuse, je faisais danser les clés devant son nez. ‘Rius ne semblait pas comprendre alors que je lui avais mit celle-ci dans les mains. Il passe une de ses mains sur son visage alors que j’imprégnais chaque détail de son expression surprise, mais enjouée. Il était aux anges, n’en revenant pas. Mes yeux dorés ne quittaient pas l’expression pétillante des siens. Me mordillant la lèvre. J’avais l’impression de le voir vivre, le plus beau jour de sa vie ! Il se releva et finit par tomber à mes cotés, prenant mes lèvres entre les siennes pour un baiser furtif qui voulait tout dire. Posant mes mains sur ses joues, je répondis à celui-ci l’espace de quelques minutes. Et puis, il se détacha pour de nouveau observer la bécane qui était derrière nous.
Sa mains se glisse sur ma joue.  « T’étais pas obligée… Qu’est-ce qui t’as pris bon sang… » Une joie enfantine se cachait dans le fond de sa voix.« L'héritier déchu des Black manquait juste d'un accessoire...» Eut-il pour toute réponse. Je savais qu'il avait fugué. Ils en avaient bavés toute une soirée, parlant de la honte qu'il était devenu. Mais cette honte, celle que ses parents ressentaient, je ne la comprenais pas... Alors que celle de Sirius....

Je savais qu’il mourrait d’envie de l’essayer, d’aller faire un tour avec celle « Elle ronronne comme un charme. » J’avais l’impression d’être d’une vulgarité à toute épreuve, alors… qu’il m’avait connue plus salace que ca ! Un sourire en coin, apparut sur mes lèvres lorsqu’il redevient sérieux et prit mon menton entre ses doigts. Son regard planté dans le mien. « Pia. Tu vas vite me dire quel est ton prix pour une bécane pareille ? »Ce que je voulais en échange ?
Passant au dessus du jeune homme je vins le serrer contre moi, mes lèvres frôlant les siennes. « Epouse moi… » Lui murmurai-je chaudement, mes lèvres frôlant les siennes. Je le taquinais… Du moins, je le pensais ce jour là. Comment aurai-je pu m’imaginer que cette requête était un cri du cœur ? Mais je jouais encore bien trop pour que cela semble réel. « Son ancien propriétaire désire te recevoir à diner ce soir. Telle est le prix d’un tel cadeau. » Lui répondis-je simplement, glissant mes mains le long de son torse. Par la barbe de Merlin ! Ce qu’il m’avait manqué !


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Malgré les tensions qui continuent dans le monde, Half God essaie toujours de vous divertir au mieux !Vous pouvez vous régaler avec les participations à l'event 6 qui est actuellement en cours ouencore lire la 18e édition du Satyre Déchaîné pour vous divertir un peu. Et puis, si jamais rien ne vous va,pourquoi ne pas jeter un coup d'œil aux défis de l'été ?
Kleman Dunn
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