Il ne faut pas réveiller un loup qui dort (Ft. Key)

Il ne faut pas réveiller un loup qui dort

ft. Keylan

Le pink moon. Ma deuxième maison. Ou plutôt ma seule maison. Qui penserait que le directeur adjoint de la justice magique trouverait son bonheur dans la maison de la débauche et de la luxure? Et pourtant, c'était la vérité. Il y a de cela quelques années, c'était à mes cotés que Keylan Greyback prenait pour la première fois son pied sur un des canapés dans lesquels elle avait dépensé une fortune pour ses clients potentiels. Ouais, je m'envoyais en l'air avec la patronne depuis toujours et pour cause: c'était ma partenaire. Meilleurs amis depuis que nos pieds avaient frôlés le parquet de Poudlard et de la salle commune des Serdaigles. Amants depuis que nous avions goutés au sexe de l'autre en même temps. Nous n'étions pourtant pas des plus exclusifs, les clients en témoignaient par ici.

J'avais passé ma journée à faire de la paperasse des plus ennuyantes en écoutant mon paternel discuter des nouvelles lois en préparation. Que je pouvais détester ce type. Rien que sa jolie gorge me donnait envie de la trancher. Et pourtant, c'était une des seules familles qui me restait. Mon regard avait rapidement dévié sur l'horloge de notre bureau commun pour au final plier bagage et rejoindre mon appartement. Adieu le monotone costume de boulot. Bonjour la diversité! Chemise coloré ouverte sur mon torse nu, pantalon bien serré à mes hanches, un peu de crayon noir sous mes yeux et c'était parti. Quinze minutes plus tard, je passais les portes du Pink Moon après avoir saluer le videur qui me répondit par un " bienvenue patron". Je saluais les habitués de clin d'oeil et m'installa au bar pour prendre un whisky pur feu avec une lichette de citron. La serveuse embrassa mes lèvres au passage, ce qui me fit sourire.

- Key est dans les parages, Bree?

- Eh bien elle est là bas avec...

Je n'eus pas le temps de la laisser finir que je le vis. Tobias Greyback. Le demi-frère de Key et également celui qui désirait qu'une chose: se la faire. Je poussais un grognement quand je le vis s'approcher de Key et plaquer ses mains sur ses hanches et ses fesses. Ses lèvres vinrent se glisser dans la nuque de ma partenaire. Ce fut finalement un sourire qui traversa mes lèvres, tandis que je bus mon whisky cul sec et que j'avalais une petite pilule au passage. Me dirigeant vers le duo, on s'écarta rapidement sur mon passage. J'ouvrais alors les bras.

- Alors, comme ça on commence sans moi? C'est triste, moi qui croyait que je faisais partie de la famille depuis le temps.

Il ne faut pas réveiller un loup qui dort

ft. Keylan

La musique jouait terriblement fort ce soir, peut-être un peu plus que d’habitude, mais la propriétaire des lieux et ses employées étaient d’humeurs festives et surtout… joueuses. Langoureuses, les louves se trémoussaient sur les podiums, certains exhibant ce que la nature leur avait offerte, d’autres servant des verres à des sorciers avec un peu trop de gallion dans les poches. Elles étaient toutes pleines d’espoirs de les alléger un peu autant de leurs monnaies que de leurs soucis, elles étaient là juste pour la première option, mais les apparences dans ce milieu était un peu tout ce qui comptait aussi.
La mi-louve, mi-socière que j’étais avait passé une grande partie de la journée à dormir, n’ayant que quelques heures de sommeils pour finalement se préparer et me rendre dans mon club ou ma livraison d’alcool attendait bien sagement. Quelques unes des barmaids étaient venues donner un coup de main, soulevant les caisses d’une main de maître. Leur nature rendait parfois certaines tâches plus faciles que d’autres. J’aurais bien aimé m’amuser avec les filles en goutant les nouveaux alcools que nous avions recu, mais malheureusement j’avais quelques tâches de responsables bien ennuyante qui m’attendait. 2h de compta, de commandes pour finalement aller me préparer et enfin pouvoir commencer ma soirée.

Comme toujours il y avait un monde fou dès l’ouverture, j’avais pris la peine de saluer mes meilleurs clients, leur offrant un verre sur le compte de la maison, refusant au passage quelques danses nues pour quelques-uns d’entre eux. Cette louve-là n’était pas d’humeur à se frotter contre un corps étranger. Elle avait envie de quelque chose de plus amusant et de plus excitant. Me déplaçant d’un pas voluptueux et sensuels, celui d’une créature appelant à la luxure, je fini par me retrouver au bar, accoudée plus loin. De mon œil bleu gris affuté j’observais la salle, glissant mon regard sur l’assemblée jusqu’à l’arrivée de mon demi-frère Tobias. Un grognement félin sortit d’entre mes lèvres lorsqu’il vint se coller contre moi, attirant mon corps peu couvert contre lui. Une de ses mains se posa sur ma hanche, l’autre agrippa mon fessier. Je pouvais sentir au vu de la bosse entre ses jambes qu’il était venu dans une énième tentative de me sauter dessus et d’enfin se glisser entre mes cuisses. Ce stupide chiot n’aurait jamais ce qu’il convoite, pas tant que moi je n’avais pas ce que je désirais. Ce mec était une honte pour les loups, et il l’avait toujours été. Ses lèvres offrirent des baisers chauds dans ma nuque, pour finalement se voir repousser de ma force de mi-louve. Je le tenais à bout de main, glissant mon regard brulant sur celui-ci.
- Dans tes rêves les plus fou Tobias. A moins que tu m’offres ce que je désire? Lâche ta couronne devant ton père et jure moi allégeance.
Il eut un rire très canin avant de tenter de me reprendre dans ses bras, glissant une de ses mains entre mes cuisses et me poussant contre le comptoir du bar. Il cherchait définitivement à allumer une flamme qu’il ne saurait manier. Il allait se faire mordre, je n’avais qu’une seule et unique envie en cet instant, c’était de lui arracher la jugulaire avec les dents. Il allait répondre quelque chose quand Barthy arriva, il n’us pas le temps de bouger et de réagir à son arrivée que mon genou vint éteindre l’excitation qui grimpait dans son pantalon. Le tout accompagné d’un petit rire amusé par la situation. Celui pour qui j’avais envie de danser et de m’enflammer était enfin arrivé.
-Ne t’inquiète pas, la fête n’est pas encore commencée.
Lui répondis-je en me rapprochant d’un pas de louve vers le sorcier, contournant mon ainé qui se tordait de douleur au sol.
-Je me demandais quand tu allais pointer ton si joli minois que je puisse te dévorer toute la nuit.

Il ne faut pas réveiller un loup qui dort

ft. Keylan

La musique se faisait sensuelle, tandis que la boite se remplissait. J'étais bouillonnant ce soir. J'étais bouillonnant chaque fois que je venais là en même temps. Les filles à moitié nu, ma réputation dans le coin. Il n'y avait pas une nouvelle qui venait passer une nuit avec moi...et ma partenaire. Un petit baptème du sexe dans un sens. J'étais un sorcier parmi les loups, mais un loup parmi les sorciers. Je n'attendais qu'une chose: devenir le roi de ma reine de meute, qui mettait du temps à prendre la place de son crétin de frère. Tobias était celui que j'avais sauvé multiples fois sans le vouloir vraiment. Cela m'assurait la garantie que le patriarche Greyback ne m'arrache pas la jugulaire pour sauter ses filles. En même temps, les loups avaient besoin d'un médicomage, même si il n'était pas certifié. J'étais le plus doué à la ronde et j'avais des bons contacts. Et le Lord m'avait en bonne vue, alors pourquoi se faire chier?

Alors que je m'approche des courbes généreuses de mon imprégnée, je vis sa jambe défoncer les bijoux de famille de son demi-frère. Désolé mon gars, c'est pas le bon soir et pas la bonne louve. Celui-ci hurle de douleur, tandis que Key s'approche mensuellement de moi.

- Je me disais aussi que ça manquait un peu de moi dans le coin.

Prenant les hanches de Keylan de la même façon que ce crétin auparavant, je levais les yeux vers ma meilleure amie.

- Le vioc m'a retenu tard. Il voulait " renforcer les liens père et fils". Pff foutaise.dis-je en roulant des yeux. - J'aurais préféré te prendre toi sur le bureau devant lui. Cela aurait surement renforcer ses liens à la con.

Je fis descendre longuement mon doigt de la naissance de son cou à son entre-seins. Puis je le remontais pour prendre son menton entre mes doigts, tandis que l'autre continuait de gémir.

- T'offres pas un baiser à ton...RHO TA GUEULE LOUPIOT! finis-je par dire en me détachant de la patronne, avant de venir m'agenouiller devant le demi-frère.

- Tiens prends ça et va t'amuser ailleurs. Tu fais chier les grandes personnes là. Je finis par lui faire avaler une pilule d'anti-douleurs instantané, ce qui fit se relever le jeune homme doucement. Je retournais alors vers Key, l'attrapant par les hanches.

- Bon on en était où?dis-je joueur.

Il ne faut pas réveiller un loup qui dort

ft. Keylan

Barthy s’approche de moi, tout comme je viens à lui, tel des aimants attirés l’un vers l’autre sans que nous ne puissions nous retenir. Son contact alluma le regard de fauve qui était le mien. Mes yeux grisés plongèrent dans les siens alors que je ronronnait de plaisir. Tobias pleurnichait de douleur dans notre dos tandis que je passais mes bras autour du cou du sorcier, venant me coller à lui avec un sourire carnassier. La lune commençait à me jouer des tours et allumait en moi toutes les étincelles de l’animal que j’étais, du moins, en partie. Je viens prendre ses lèvres des miennes, dévorant celle-ci en collant mes hanches aux siennes, mordillant sauvagement mon petit ami et glissant mes ongles acérés sur son costume. Lorsque je lâcha enfin ses lèvres, elle expliqua la raison de son retard. Ainsi, son père avait désiré passer un peu de temps en sa compagnie, chose que celui-ci avait en horreur. J'eus un rire plus que sensuel et félin, accompagné d’un petit grognement rauque et amusé. -“Je me disais que ça manquait beaucoup de toi dans le coin, regarde ce qui me tourne autour.” Lançais-je en finissant par me décoller de mon petit ami pour glisser mes mains le long de mon torse. Joueuse, sensuelle et clairement penchée dans une envie de luxure hors norme. Je pouvais dévorer mon amant et surtout, passer une nuit entière à le chevaucher sans jamais être totalement satisfaite. En désirer toujours plus pour finalement me finir avec mon bêta de loup. Une de mes mains vint caresser du bout de mes ongles la joue du sorcier, répondant à ce qu’il aurait préféré faire plutôt que de devoir supporter une fois de plus son paternel. -"Bientôt mon étalon, nous baiserons dans son sang tandis qu’il agonisera. Nos deux corps nus seront la dernière image qu’il verra avant de s’éteindre. “

Barthy réclama un nouveau baiser avant de s’agacer de la présence de mon demi-frère gémissant au sol, il se détacha de moi et alla guérir le loup, lui donnant l’ordre de nous laisser tranquille. Je fis une petite moue dédaigneuse en le voyant prendre soin de lui, et lorsqu’il revint vers moi en me demandant où nous en étions, ce fut uniquement pour lui répondre avec un regard brillant, sauvage et … chaud. Plus que chaud. Un sourire mauvais apparut sur mes lèvres alors que je reculai et me tourna vers mon aîné pour de nouveau, et sans prévenir, lui foutre mon genou entre les jambes. Un rire mauvais s’échappa de mes lèvres, prenant son menton entre mes doigts fins, je vins lui murmurer quelque chose à l’oreille qui le fit rougir. Dans un claquement de doigts, la barmaid la plus proche vint le retirer de ma vision, le sortant du club. Je me retourna vers Barthy et pris sa main dans la mienne. -“Nous en étions à baiser dans une salle en haut, avec des spectateurs pour se branler sur nous.” Répondis-je en le trainant dans mon sillage, le laissant observer mon déhanché féminin et animal.

Il ne faut pas réveiller un loup qui dort

ft. Keylan

Mes yeux dans le sien, plus rien ne peut nous séparer actuellement. Keylan est chaude comme la braise, tandis que je l’égale presque autant. C’était fou comment elle me captait sans se soucier des autres. Elle finit par prendre mes lèvres,  nous nous dévorions mutuellement. Mes mains serraient fiévreusement son postérieur, tandis que je sentais ses ongles sur mon costume. Une bien sensuelle rencontre. Je finis par lui annoncer la raison de mon retard, elle s’en amuse.

- J’ai vu. Une grosse mouche bien baveuse.

J’eus un sourire à ses ongles, contre ma joue, tandis que je jouais avec sa peau. Sa réponse eut droit à un sourire plus carnassier de ma part.

- Tu sais que tu m’excites rien qu’en prononçant le mot sang?

Je lui demande alors un nouveau baiser, avant de finir par faire taire le débile qui lui sert de demi-frère. Lorsque je reviens, c’est un regard chaud qui m’accueillit. Je m’accoude alors au bar, tandis qu’elle blesse encore son ainé. J’eus un rire moqueur en m’allumant un joint de tentaculas frais pour en tirer une bouffée. Rapidement je sentis la main de ma partenaire dans la mienne et ses mots me firent plaisir.

- C’est bien ce que je pensais.

Je la suivais alors, mettant délibérément son postérieur, avant d’arriver à la fameuse salle du haut ou se trouvait déjà quelques hommes et femmes entrain de s’occuper mutuellement les uns des autres. Quand ils nous virent arriver, leur regard était féroce et cela me plut bien évidemment. Fermant la porte de mon pied et prenant les hanches de ma partenaire, je vins m’occuper de son cou et de ses clavicules sous le regard  des spectateurs aussi brulants de désir que je ne l’étais. Cela en continuant de fumer mon joint, emplissant la pièce d’une odeur agréable.

- Est-ce que tu me baises en premier ou je commence, ma reine? Parce que j’avoue que les deux me tentent.

Ma verge déjà grossie contre ses fesses à peine couvertes, je ne peux m’empêcher de la frotter tout en dévorant sa peau sauvagement.

- À moins que tu veuilles une femelle pour s’occuper de ton entre jambe pendant que je te baise ce joli petit cul?

Il ne faut pas réveiller un loup qui dort

ft. Keylan

Le jeu était lancé, tant et si bien que le monde autour de nous ne semblait plus avoir d’importance. La louve en moi ronronnait, elle désirait sauter sur sa proie, déchirer sa chair et la goutée encore et encore. Nos lèvres collées l’une à l’autre ne faisaient que de monter cette envie qui enflammait tout mon corps. Il n’y avait aucune entité en moi qui se refusait à le dévorer et à en faire mien. Lorsque nos lèvres se séparèrent, j’us un sourire gourmand, riant de sa remarque vis à vis de son retard. « N’as-tu aucuns moyens pour te débarrasser de cet encombrement mon sorcier ? » Lui demandais-je avant de glisser mes ongles sur son visage. J’étais plus que prête à le dévorer mais Tobias restait un peu trop proche dans les parages. Je fini par nous débarrasser de lui, n’ayant d’yeux que pour Croupton Jr. Je ne saurais dire si ce qui m’attirait chez lui était la folie qui faisait partie de son être ou bien un besoin plus qu’évident de le côtoyer pour rendre mon propre père fou de colère ? Il ne voyait cette relation d’un bon œil, pour le moment, le loup ne disait rien.

Un sourire carnacier se dessina sur les lèvres de mon amant que je me mis à allumer encore plus, glissant mes mains sur son corps tandis qu’il en faisait de même, serrant mon fessier avec ses doigts. Sa remarque sur son excitation me fit juste sourire. Je ne lui répondis pas, blessant mon ainé avant de n’accorder à mon amant toute mon attention. Il alluma un joint de tentaculas, une moue dégoutée sur mon visage se dessina. « Il n’y a que deux règles ici et tu le sais. Les femmes sont au pouvoir, la fumée est interdite. » Lui rappelais-je avant de poser sur ses lèvres un doigt qui voulait dire ‘interdit’.
Je le tira vers la salle à l’étage, espérant qu’en route il éteigne cette immondice qu’il s’obstinait à fumer, mais ce ne fut le cas. Il tira de nouveau sur son joint, me provoquant un dégout assez présent et surtout… Eteignant toute envie prédatrice et sexuelle. Je ne ronronnais plus, ne faisant pas attention aux regards qui s’étaient tournés vers nous. Ses lèvres dévoraient mes épaules et mon cou, sa verge frottaient mes fesses et lorsqu’il me demanda comment je voulais qu’il s’occupe de moi, je grognai de mécontentement. Je me retourna vers lui, pris son joint et l’écrasa au sol de mon talon. « Trop tard. Je n’ai plus envie de jouer. » Lâchais-je avant de le contourner et de sortir de la pièce pour finalement rejoindre mon bureau au troisième. Il était au bout du couloir ou les nombreuses loges étaient exclusivement réservées aux danseuses, serveuses et barmaid. Je donna un coup de pied dans la porte et la claqua dans mon dos, me dévêtissent de l’attirail qui ne m’amusait plus. Je vins enfiler une de mes habituelles robes blanches à bretelle, simple, courte et légère et vint poser mes pieds nus sur mon bureau en attrapant un livre de comptes que j’épluchais. Ma louve était frustrée et en même temps, l’odeur de ses tentaculas ne lui plaisait guère non plus.

Il ne faut pas réveiller un loup qui dort

ft. Keylan

La folie était en possession de mon être. Folie du pouvoir. Folie de la luxure. Il y en avait peu qui n'avait pas peur de cette partie de mon être. J'imposais, mais je me montrais aussi docile quand il le fallait. Quand je savais que l'adversaire était trop fort pour moi, je baissais le regard, je paraissais possiblement soumis. Cependant, je ne baissais jamais ma garde et c'est comme ça que je finissais à manipuler tout le monde.

Le demi-frère controlé, j'allumais l'objet d'un délice interdit. Interdit que ma partenaire détestait de par son odorat de louve. Elle me le fit bien comprendre par son doigt sur mes lèvres. J'en roulais mes pupilles déjà bien éclatée, en tenant l'objet du délit entre mes doigts.

- Tu sais très bien que les règles ne sont pas faites pour moi...mais soit...Je n'en rallumerais pas une deuxième, mais laisse moi au moins la finir. J'ai payé cher pour ça.

Une fois tiré à l'étage, je sens bien que ma louve a changé d'attitude. Ma liane se retrouve à terre comme la libido de Key. La laissant filer devant une assemblée presque soufflée, je poussais un long soupir, avant de sortir une pilule de ma poche. Le regard des voyeurs changea alors.

- Bah quoi? On a plus le droit de se droguer par ici?

Je savais très bien où elle était. J'avais bien sûr prévu le coup. Je connaissais Keylan depuis Poudlard, alors comment vous dire que ce genre de comportement n'était pas inconnu à mes yeux. Elle devait être dans son bureau, entrain de lire un livre de comptes, frustrée par mon comportement qui lui avait encore une fois déplu. D'habitude, j'attendais qu'elle revienne pour me dévorer, mais ce soir, ce serait le docile sorcier qui viendrait à ses cotés. Je quittais alors la salle, pour rejoindre les toilettes, prenant une chemise trouvée sur le sol. Passant un peu d'eau sur mon visage, je sniffais la chemise. Mouais, pas d'odeur, ça passerait. Je retire le haut, m'enrobe d'un onguent pour effacer les odeurs nauséabondes. Je finis par l'enfiler sur mon corps fin. Elle est un peu grande mais tant pis.

Montant à l'étage, je finis par toquer à la porte du bureau, avant d'entrer, trouvant la louve dans une robe des plus candides.

- Je croyais que la déesse de la luxure accueillait ses invités, nue? J'ai du me tromper de mythologie.

Je vinis poser mes fesses sur son bureau et me mit dans une position des plus suggestives.

- Tu peux me punir si tu veux. Je suis déjà assez high pour me soumettre.