« Je ne peux pas te citer qui que ce soit, tu sais très bien que je ne peux  partager avec qui je couche ou ai couché. Tu n’aimerais pas regarder les pères ou ainés de nos amis différemment. » Le taquinais-je en guise de réponse alors que nos corps étaient toujours aussi proches l’un de l’autre. Ce petit jeu m’excitait clairement. Il me fit la remarque qu’il était effectivement plus vieux que moi, je lui tirai la langue avant de m’emparer de ses lèvres. « 2h45. » Lui faire la remarque que je montrais ma jalousie autrement le fit grogner. Il savait que je préférais le prendre caché dans un coin plutot que d’exprimer par des mots ce que je ressentais vis à vis des autres. « Tant que tu ne couches pas avec Groupie numéro 1, tout ira bien entre nous. » Lui soufflais-je. Je la détestais par dessus tout. Vraiment. Il y avait toujours eu une animosité avec la métisse, bien que nous n'ayons jamais eu de grandes altercations. Victoire avait la baguette facile en comparaison de ma patience mais surtout .. de mon refus de me montrer violente. Il était parfois difficile de me retenir pour ne pas lui en foutre une! Son air aguicheur, son besoin constant de coller Sirius, de le toucher, de lui voler les lèvres m'agaçait au plus haut point. Et comme toujours avec nous, la conversation dévia. Nous parlions de ma tenue, une tenue plus que dénudée spécialement pensée pour le sorcier. Un sourire mutin et coquin se dessina sur mes lèvres.

«J'ose espérer qu'elle te donne envie de me déshabiller… sinon je subirais les avances des Serpentards pour rien.» répondis-je taquine. Sa bouche sur mon sein le suçait, me faisant me mordiller la lèvre inférieure. Je l'observais descendre au fur et à mesure qu'il profitait de mon corps à moitié dénudé, mes yeux dorés plantés dans les siens. Il finit par deziper mon jean et glissa sa langue entre mes cuisses déjà bien humide. Il n'y avait pas à dire, si j'aimais m'adonner à la fellation, l'amour des préliminaires était réciproque lorsque nous parlions de Sirius. Je dus poser ma main sur ma bouche alors que j'allais jouir entre ses lèvres, mais la vue d'une mèche de cheveux rose me fit repousser le Gryffondor. Le seul et unique.
Il suce ses doigts encore mouillés, ne me lâchant pas du regard. Comme toujours lorsque je le frustre il se roule une clope et se met à tirer dessus. Fermant les yeux, j'essayais de calmer mon don qui trahissait bien trop mon excitation actuelle. Mais j'étais trop sous l'influence de drogues et lorsque je rouvris les yeux, Sirius continuait de m'observer. Il était bien décidé à profiter de ce cadeau d'anniversaire… cela se voyait à la manière dont il tirait sur sa clope.
Mon cœur battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait exploser. Évidemment mes cheveux ne changèrent pas de couleurs, continuait d'exprimer cette irrésistible envie de me faire prendre par le sorcier qui me faisait face. Et clairement. La. Maintenant. Tout de suite. Il pouvait me prendre comme bon lui semblait. L'envie était trop grande.

Je finis par sortir de ma poche un sachet de poudre de lutin et déposa une dose sur ma main libre. Reniflant celle-ci, je me lècha la main avant de le ranger et de totalement baisser mon jean. Me jetant sur Sirius qui n'avait même pas fini sa clope. J'avais encore plus un goût de drogue. Ma poitrine plantureuse contre son torse, je viens glisser ma main sur son verge, continuant d'embrasser ses lèvres avec fureur et envie. « J'ai changé d'avis, baise moi.» Lui entonnait-je alors, sentant la chaleur au creux de mon ventre finir par envahir tout mon corps. Ce qui résultait d'un peu de rose dans le doré de mes yeux.

Ce que j’appréciais chez Sirius cette non jalousie et possessivité dont il pouvait parfois faire preuve. Les mecs qui passaient leur temps à me dire que je leur appartenais, à me faire des crises de jalousies et bien autres ne faisaient jamais long feu entre mes cuisses. Il y avait toujours eu des règles à respecter, qu’importe que ce soit parfois dur pour certains. Il ne fallait jamais me prendre pour acquise.
Mes yeux dorés fixaient le sorcier qui me faisait face. Particulièrement amusée, je ne le quittais pas des yeux. Ces petites batailles verbales avaient tendances à m’exciter outre mesure. Je lui fis la remarque que je ne pouvais partager les noms de mes amants, il le savait et n’en faisait aucunement un fromage. Ca ne changeait rien au sexe entre nous et à la régularité de nos petites sauteries. Je le voyais plus souvent que n’importe lequel de mes jouets, et il devait s’en douter. De toute façon, je les avais tous largués les uns après les autres pour ne garder que lui. Ils ne m’amusaient plus, ils ne me servaient plus non plus. Mon frère avait fini par avoir suffisamment d’influence pour que notre petit jeu de manipulation prenne fin depuis la rentrée scolaire. « Si ca peut te rassurer, je n’ai ni couché avec un maraudeur ni ton frère… Bien qu’il soit à croquer. » Riais-je en le taquinant. « Le seul autre maraudeur qui aurait pu y passer aurait pu faire de moi son gouter, et je ne tiens pas à finir avec des marques sur le dos. » Je parlais évidemment de Remus avec qui j’étais amie depuis un moment déjà. Son secret avait toujours été bien gardé avec moi, tant et si bien que je m’étais appliquée à lui fournir des potions pour l’aider à se remettre de ses nuits mouvementés.
Une piqure de rappel se fit quand aux heures qui nous séparaient. Je l’observais rire de cette voix que je trouvais depuis quelques temps si délicieuse. Son rire me donnait des frissons plus que plaisants, ayant toujours l’esprit qui s’envolait vers d’autres idées en l’entendant. « C’est toi qui rajeunit durant ces trois heures. » Rétorquais-je alors. Ses lèvres contre les miennes, je vins les prendre durant de longues minutes en un baiser chaud et langoureux. J’avais terriblement envie de lui, mais aussi… nullement le désir que l’on n’apprenne ce don qui était le mien. J’avais vécu 17 ans en le gardant secret, je comptais bien continuer de la sorte. Je lui fis la remarque que sa groupie… Clairement, ce n’était pas possible. Il assura que jamais il ne la laissera le toucher. « Plus personne ne la touche depuis que t’es à moi. » Lui répondis-je un tantinet possessif. Qui y gagnait-il au final ? Ne revenait-il pas toujours vers moi ?

Aguichant de nouveau le Gryffondor, la conversation avait rapidement déviée sur ma tenue. Un cadeau que j’avais pensé pour lui dans l’optique qu’il me la retire le plus rapidement possible et que je finisse ma poitrine contre son torse nu. Et plus le temps passait, plus je désirais qu’il me serre dans ses bras pour la dévorer et me prendre presque sauvagement contre le mur. Il y avait encore quelques années de cela, jamais je n’aurais autorisé qui qu’on que d’agir de la sorte avec moi. Sirius fini par se mettre à genou, à son tour, la tête entre mes jambes, il finit par me faire jouir. La mèche de cheveux rose qui apparut à mon attention me fit jurer et le repousser. L’envie qui brulait au creux de mon être ne désirait que de se faire posséder encore et encore, alors qu’il grogna de mécontentement. Il sortit sa clope, se mettant à fumer, toujours aussi provoquant tandis que je tenais de calmer le feu qui ne cessait de se rependre en moi. Impossible, je fini par sniffer un peu de poudre et lui demander de me baiser. Cru, directe, l’on ne pouvait pas faire plus précis comme envie. Nue, accrochée à son cou, il approuva à ma demande, me soulevant et me prenant aussi brusquement et violemment que je lui avais demandé. Un gémissement de plaisir et de soulagement s’échappa un peu trop fort de mes lèvres lorsqu’il nous unit. J’enfermai mes jambes autour de sa taille. Cambrée, il dévorait ma poitrine alors que je me tenais d’une main au tuyau qui était au dessus de ma tête. En transe, je répondais à ses coups de bassin, venant à glisser un doigt entre nous pour faire monter ma propre tension et laisser mes cheveux changer de couleur. Je gémissais au creux de l’oreille de mon amant, essayant tant bien que mal de ne pas jouir et gémir trop fort. L’excitation à l’idée de se faire prendre dans cette position, nous les ennemis de Poudlard, avait quelque chose de particulièrement… jouissif. Alors que j’accompagnais ses coups secs de bassins, je finis par lui souffler d’y aller plus fort, de ne pas s’arrêter de me prendre. J’allais baisser les armes avec un petit coup de main. Ma peau perlait de sueur contre la sienne si enivrante.

Taquiner le jeune homme était clairement un de mes jeux favoris. Lui dire qu’il m’aurait été facile de sauter sur l’un de ses amis pour en faire mon amant le fit rire. Un de mes sourires mutins se dessina sur mes lèvres. J’aimais son rire. Il était particulier à cette condition qu’il avait apprise et fait de lui un animagus chien. On ne la retrouvait pas que dans son patronus, cette incarnation qui lui était propre. Ses dents mordillèrent ma lèvre inférieure face à la frustration que je lui faisais vivre en refusant qu’il se glisse entre mes cuisses et le rappel incessant que je lui faisais concernant sa groupie collante. J’us un petit rictus amusé avant de prendre ses lèvres des miennes, tentant de refuser ce petit jeu que je savais… allait modifier la couleur de mes cheveux. Ce que je pouvais détester mon don… Il exprimait bien trop mes émotions, bien trop cette envie que j’avais de finir ce que nous avions commencé. Finalement, je craqua et lui demanda de me prendre contre le mur. Un privilège que je ne donnais qu’à Sirius : jamais je ne laissais mes amants me faire sien de la sorte. Mais lui ? Avec lui les choses étaient différentes. J’aimais presque autant le dominer que de me faire dominer.

Ne se faisant pas prier, Sirius me souleva pour me plaquer violement au mur et me prendre sèchement et violement. Mon dos frottait au mur sous ses coups de hanches auxquelles je répondais avec ferveur. Nos lèvres jouaient autant avec celles de l’autre et le corps de son partenaire. J’étais folle, folle de son corps. Le jeu était de plus en plus violent, plus en plus excitant. La main qui tenait le tuyau au dessus de ma tête le serrait si fort, que j’en avais mal. Et tandis que je me masturbais et que lui continuait de me prendre tout aussi vivement, je jouis, plus d’une fois dans son oreille. Mouillant encore et encore, jusqu’à ce qu’il finisse par en faire de même entre mes cuisses. Un gémissement se fit de nouveau entendre lorsqu’il se retira, venant glisser une nouvelle demande au creux de mon oreille. Je pris son visage dans l’une de mes mains et embrassa fougueusement celui-ci et ce de longues minutes tandis que ma main libre, elle, glissait le long de son torse pour venir rallumer son désir. Il n’était pas difficile d’allumer Sirius et de le faire bander, il aimait le sexe autant que moi, voir si ce n’était plus, car moi je prenais surtout mon pied dans la jouissance de l’autre. L’entendre grogner était un véritable plaisir coupable. Cette nouvelle demande ne m’étonnait pas, je baissa les yeux quelques secondes avant d’afficher une moue joueuse. Il était assoiffé de sexe et n’en avait jamais. Combien de fois allait-il jouir avant de se sentir comblé. Venant coller ma poitrine nue contre lui, je fini par répondre sur un ton chaud et sensuel. « N’est-ce pas toi qui te gâtes ? » Soufflais-je avant de me retourner et de prendre ses mains pour les poser sur ma poitrine. Mon dos portait les marques du frottement au mur. J’usais de mon fessier pour finir de l’allumer et le rendre dingue. Toujours dos contre lui, je vins de nouveau prendre ses lèvres des miennes. L’avantage d’être en talon haut était que je pouvais rattraper les quelques centimètres qui me séparaient de lui. « Qu’est-ce que tu attends pour me prendre ? Mon corps est à ta disposition pour ton anniversaire… » Il était rare que je lui donne autant de liberté…  Bien qu’il fallait avouer que le sexe n’en devenait que meilleur depuis que j’offrais à Sirius la possibilité de jouir de moi comme bon lui semblait.

Allumeuse, je me frottais délibérément contre Sirius pour rallumer la flamme. Sa passion pour le sexe était tel que c ‘était vraiment facile de le pousser au pécher. Je le fis sourire lorsque la remarque concernant son propre plaisir se glissa entre mes lèvres, finissant par faire des siennes mes prisonnières. Le baiser est encore plus sauvage qu’à l’habitude, plus fougueux, plus possessif aussi. J’exprimais une certaine jalousie face à cette groupie qui se collait à lui en public, l’imaginant sien alors qu’il en était tout autre. Si ma réputation ne me tenait pas tant à cœur, moi aussi je prendrais plaisir à lui faire du rentre dedans en public. « Je peux refuser si je le souhaite… » Soufflais-je chaudement, laissant penser qu’il était possible que je puisse ne pas désirer une partie de jambe en l’air avec le sorcier, ce qui, au vu de mes mains posant les siennes sur mes seins, n’était pas le cas. Je sentais l’excitation et l’envie de continuer de jouer, monter. Un ordre plus tard, et il me fit rire avec sa réponse, un rire qui ne dura que quelques secondes avant qu’il n’entre de nouveau en moi, relançant la machine des cheveux roses. Le geste fut accompagné d’un gémissement de pur plaisir tandis que ses mains restaient sur ses hanches. Ma tête posée contre son torse, je me mordillais les lèvres tandis qu’il ne remuait qu’un minimum. Il grogna, me promettant de me dévorer toute entière. Vraiment ? Une de mes mains se leva pour agripper sa nuque. « Es-tu sur d’être le loup ? » Lui demandais-je, c’était lui qui était revenu vers moi  et en avait redemandé encore et encore, jusqu’à ce que, totalement défoncée, je craque et accepte de faire de lui, l’un de mes amants. Il était devenu le seul. Le seul et unique. J’aimais lorsqu’il m’agrippait ainsi par les seins, lorsqu’il me culbutait sèchement et sauvagement, je n’en mouillais que plus.
Et alors que j’avais les cheveux d’un rose fuchsia, je vins pimenter le jeu en prenant l’une de ses mains, suça plusieurs de ses doigts avant de les glisser en moi. Je mouillais comme jamais. L’excitation était clairement à son comble et mes nombreuses jouissances se faisaient sentir par la contraction qui serrait les doigts du brun, et mon corps qui se tendait.

Ma main dans sa nuque le griffa allègrement et au moment de la jouissance ultime, je ne pus cacher l’extase qui faisait non seulement trembler mon corps, mais aussi tremper les doigts de mon amant interdit. Bien heureusement pour nous, nuls n’étaient entrés dans les toilettes. En toute sincérité, mes jouissements incontrôlables auraient vendus la mèche de ce petit jeu auquel nous nous adonnions. Je fini par lui libérer la main alors qu’il se retira et m’offrit un baiser. C’est à ce moment là qu’il me proposa d’aller fumer des feuilles de tentaculas à l’extérieur tandis que je sortis ma baguette magique de mon jean déchiré qui gisait au sol. D’un simple coup de baguette, toute la sueur et tous le foutre témoins de cette débauche violente que nous avions eu, disparut. Seul restait les marques de mon dos et sur mes seins. « Loin du bar alors, on risquerait de se faire chopper sinon… Je ne tiens pas à ce que Vic ne nous tombe dessus. » Lui répondis-je en me rhabillant. Je vins voler ses lèvres une dernière fois. « La prochaine fois, c’est moi le loup. » Lui promettais-je en glissant mes mains sur son fessier pour l’agripper. Mes doigts se baladaient sur sa peau, titillant l’entrée de l’endroit qu’il venait de culbuter chez moi. Puis je mordis sa lèvre inférieure avant de lui piquer sa veste en cuir. Je savais qu’il n’apprécierait pas, mais en même temps, je ne pouvais pas sortir le dos rougit de notre petite activité. « Passes devant pour ouvrir la voie… » Si je ne voulais pas que Vic ne nous voit, il y avait aussi bien d’autres personnes présentes que je souhaitais à tout prix éviter.

Remontant la fermeture éclaire de la veste de Sirius sur ma poitrine, je laissa tout de même celle-ci apparente et passa mes longs cheveux blonds par dessus. Sirius laissa une moue se dessiner sur son visage, n’appréciant guère que je prenne ses affaires de la sorte. Je lui avais déjà volé un de ses t-shirt de Quidditch, maintenant je prenais sa veste. C’était une manière comme une autre de marquer ma priorité. Inconsciemment, je n’appréciais pas que Rory puisse venir l’embrasser et le tripoter. La voir lui tourner autour m’agaçait au plus haut point. Je devenais jalouse et possessive. Comment avais-je pu laisser cette relation toxique, uniquement basée sur une histoire de cul, prendre en otage mon cœur de la sorte ?
Il m’assura qu’il connaissait un endroit ou mon amie ne pourrait nous trouver. Le surnom qu’il lui donna me fit lever les yeux au ciel. « Arrête de l’appeler comme ca. Tu ne peux pas te taper toutes les nanas de l’école. On finirait par se poser des questions sur ma capacité à te satisfaire. N’est-il pas murmuré que tu es en couple ? » Dis-je en m’amusant de la situation. Cette rumeur en faisait baver plus d’une. Elles étaient toutes curieuses de savoir qui était celle qui avait réussi à lui mettre le grappin dessus. Le fan club de Sirius avait tenté d’enquêter, mais sans ne jamais réussir à nous démasquer. Notre routine était bien huilée. Nous connaissions assez bien les passages secrets pour disparaître de la vue de tous, et puis… La manière dont l’on s’agressait mutuellement verbalement en quasi permanence en public cachait bien notre jeu. Personne ne s’était douté une seule fois qu’en histoire de la magie, je glissais ma main entre ses cuisses pour jouer de sa verge. Distrayant plus que son esprit du cours que nous suivions.

Lui affirmant que la prochaine fois, je ne me laisserais pas chasser de la sorte, Sirius me fit une remarque qui était plus une demande. J’us un petit rire amusé, mon rire d’enfant plus que joyeux, posant ma main sur mes lèvres pour le camoufler. Ce que je pouvais le détester… autant que mon don ! « A croire que ton cul musclé est devenu accro à mon doigté. Tu risquerais de ne plus pouvoir chevaucher ton balai Black. Fais-attention avec tes demandes ! » Sirius finit par sortir pour ouvrir la marche, je le suivi après quelques minutes, traversant la foule, évitant avec soin Victoire qui était occupée à draguer sa prochaine proie, un verre à la main, sa poitrine en avant. M’approchant de la sortie, j’attrapai au passage une bouteille de pur feu, comptant bien continuer la fête loin des regards. Dans la ruelle, Sirius se retourna sur mes yeux dorés alors qu’il roulait nos tentaculas. « Tu veux vraiment que je finisse défoncée… et saoule. Tu te souviens surement que c’est la plus mauvaise idée que l’on puisse avoir… » La dernière fois que je m’étais retrouvée saoule et défoncée, je m’étais mise à danser, chanter et à rire sans pouvoir m’arrêter. Autant vous dire que lorsqu’on a l’équilibre d’une girouette, danser peut rapidement devenir problématique. Tant et si bien, que la salle sur demande –et surement les pieds de Sirius- s’en souvient encore ! Je bu une gorgée, avant de lui tendre la bouteille. « On devrait faire un mélange explosif, tentaculas et feuilles de mandragore. » Tant qu’on ne nous choppait pas, nous pouvions nous amuser… Sans modérations !